Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Parler à votre médecin de l’anxiété sociale

2 minutes de lecture

Sommaire

De nombreuses personnes présentant des symptômes de trouble d’anxiété sociale (TAS) ne reçoivent jamais de diagnostic officiel parce qu’elles ont peur de parler à leur médecin de ce qu’elles ressentent. Vous avez peut-être l’impression de ne pas savoir quoi dire ou comment l’expliquer, ou peut-être même d’être gêné par votre anxiété sociale. Vous n’êtes pas seul ; de nombreuses personnes souffrant d’anxiété sociale ressentent la même chose.

Il est important de savoir que l’anxiété est très répandue – près de 20 % des adultes américains souffrent d’au moins un trouble anxieux chaque année et plus de 30 % d’entre eux souffriront d’un trouble anxieux au cours de leur vie.

Malheureusement, les recherches indiquent que seulement 20 % des personnes souffrant de troubles anxieux reçoivent un traitement. Vous n’êtes pas obligé de faire partie de ces chiffres. Voici quelques conseils pour vous aider à parler à votre médecin.

Apprenez des meilleurs mentors

Écrivez-le

Une bonne solution à ce problème consiste à présenter à votre médecin un résumé de votre cas au lieu d’essayer d’expliquer verbalement vos symptômes. En général, un résumé de cas est une description concise de l’historique de vos symptômes. Le résumé doit être détaillé mais suffisamment court pour que votre médecin puisse le lire rapidement.

Si vous décidez de faire un résumé de cas, voici les points clés que vous devriez aborder :

  • Vos antécédents:Mettez en évidence tout antécédent familial important en matière de santé mentale, les relations familiales et sociales pertinentes, vos antécédents en matière de drogues et d’alcool (le cas échéant), les difficultés que vous rencontrez dans la vie quotidienne, vos objectifs et la façon dont vous faites face à vos symptômes.
  • Vos symptômes:Faites une liste de tous les symptômes que vous ressentez, qu’ils soient physiques, émotionnels ou sensoriels, ainsi que de ce qu’ils vous font ressentir et/ou de ce qu’ils vous font penser.
Excellent
4.8 out of 5
Programme confiance en soi : formation éligible au CPF. Coaching individuel et collectif.

Reconnaissez votre anxiété

Avant de commencer à parler à votre médecin, dites-lui que vous aurez du mal à lui parler. Si vous décidez de préparer un résumé de cas, incluez au début une déclaration expliquant comment vous vous sentez à l’idée de partager ces informations. Votre déclaration pourrait ressembler à ceci :

« J’ai probablement l’air d’aller bien pour vous, mais à l’intérieur, je suis terrifiée à l’idée que vous me jugiez. Lorsque je parle aux médecins, je deviens très anxieux, mon esprit devient vide et je ne peux pas expliquer ce qui ne va pas »

Amenez quelqu’un avec vous

Faites-vous accompagner par quelqu’un pour parler à votre médecin. Outre le soutien émotionnel d’un ami ou d’un membre de la famille, cette personne peut écouter ce qui est dit, réfléchir à des questions et demander des éclaircissements si nécessaire. Une deuxième personne peut également prendre des notes sur ce qui est dit pendant l’entretien.

Rappelez-vous que les médecins sont là pour vous aider

Bien qu’il puisse être intimidant de parler de problèmes personnels à des professionnels, votre médecin a pour mission de vous écouter et de vous comprendre. Il peut être difficile de lui faire confiance, mais lui faire part de ce que vous ressentez est le premier pas vers l’obtention d’une aide.

Si, pour une raison quelconque, vous avez l’impression que votre médecin ne vous aide pas ou qu’il n’est pas le bon choix pour traiter votre dépression saisonnière, vous pouvez chercher quelqu’un d’autre. Vous devez vous sentir à l’aise et en sécurité avec la personne qui vous traite.

Un mot de MentorShow

Les troubles anxieux tels que la phobie sociale sont environ deux fois plus fréquents chez les femmes que chez les hommes, c’est pourquoi les experts recommandent que les femmes et les filles de plus de 13 ans fassent l’objet d’un dépistage de l’anxiété.

Si vous avez du mal à décrire ce que vous ressentez, envisagez de demander à votre médecin de procéder à un dépistage de l’anxiété. Cela pourrait constituer un bon point de départ pour parler de certains des symptômes que vous ressentez.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *